Aurore Vinzerich est une communicante hors pair ! Fondatrice de l’agence de communication Madame de la Com’, elle a partagé avec nos étudiants, son expérience de la communication dans les start-up. Retour sur cette MasterClass enrichissante qui s’est tenue sur le campus de Bordeaux.
Comment s’adapter aux besoins des start-up en termes de communication ?
En termes de communication, les besoins d’une start-up et d’une grande entreprise sont très différents.
Pour les start-up, la visibilité est vitale ! Communiquer dans l’urgence peut s’avérer stimulant et intéressant, mais il ne faut pas le faire trop tôt au risque de ne pas susciter suffisamment d’engouement. Il est également important d’avoir une bonne maîtrise des outils journalistiques et revêtir une double casquette ; à la fois celle de commercial et de communicant.
De plus, travailler dans une start-up est humainement très enrichissant. On vit chaque étape avec l’entreprise, ce qui est différent des grands groupes.
Néanmoins, une start-up a un petit budget, il est donc nécessaire de s’adapter à sa cible pour se rendre accessible. Cela passe notamment par la réduction des coûts : travailler avec des employés polyvalents voire travailler seul. Ce modèle économique que représente les start-up, est à optimiser afin d’en tirer parti.
Aurore Vinzerich a relevé ce défi en créant sa propre agence de communication, en 2017. Elle est la fondatrice et la dirigeante de l’agence Madame de la Com’. Son besoin d’évolution, de challenge ainsi que son profil atypique font son succès. Explications.
2 conseils majeurs sont ressortis de cet échange
Le réseau est la clé de la réussite pour se créer des opportunités. Il constitue un atout majeur. Il est fondamental de l’entretenir pour conserver un lien avec les professionnels rencontrés.
Le stage constitue un choix stratégique. En effet, une start-up permettra d’être plus polyvalent. Dans une grande entreprise, les tâches seront souvent plus spécifiques. À vous de choisir ! 😉
Flora LACOSTE, Anita LADEUIX, Sibylle LAMOTHE, Thibault LAPORTE, Camille LAFFITE, étudiants en 3e année de l’ISEG, ont rédigé cet article.
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